Il était tant attendu ; ciel dégagé ce matin, simplement nuageux ce tantôt avec un peu de vent de nord-est et une température qui dépasse enfin les 20° avec 21°4 (mf 21°7). Heureusement que j'avais eu 20° toupile à ma station le 30 avril sinon il fallait remonter au 14 avril pour avoir au moins ça.

Du coup, une balade fut de rigueur, avec un pull pour le début, que j'ai rapidement enlevé lors d'une marche en longeant un bois ; et je ne l'ai pas remis avant d'être revenu chez moi. Vent de nord-est, donc, allant vers Marçay, je l'avais de face, mais au retour, il m'a poussé.

Sur les hauteurs, en prenant une petite route jamais empruntée depuis que je fais du vélo (ça date), j'ai pu découvrir un beau spot pour les orages. Bien dégagé à 360° au sommet d'une colline, mais aucun abri, ce qui veut dire qu'il faut avoir la voiture à proximité.
Il y a bien 2 arbres, mais ils ont fait la guerre ; un cerisier qui doit bien avoir 50 ans d'âge et qui a perdu quelques grosses branches (du au vent ?), et un autre arbre bien vieux aussi que je prenais pour un amandier (mais ce n'est pas ça) qui lui a toute sa charpente morte, même plus d'écorce dessus (pris la foudre ?) mais qui repart au pied. Ils ne pourraient pas servir d'abris, mais il y a un abri bus au carrefour d'où l'on arrive à 500 m.

Ensuite je suis redescendu vers les marais arborés beuxois ; là, tout est vert, de l'eau dans les fossés, dans le cours d'eau qui passe dans le village, de l'eau dans l'étang, sur les berges et mêmes quand on passe sous les saules pleureurs (ils pleurent d'où leur nom). En tout, ma balade m'a pris presque 4h.