• Le coup de pot

    Je ne sais pas si vous êtes comme moi, vous qui vous intéressez à la météo (et les autres) et aux éclairs que vous voulez mettre en boîte, mais instinctivement, dès qu'il y a en un, alors que je ne suis pas face à lui, je me tourne aussitôt là où il a jailli.
    C'est idiot parce qu'aussitôt apparu, aussitôt disparu, et il est trop tard pour le filmer.

    Et bien sûr, pendant que je me tournai vers l'éclair qui n'est plus, un autre apparaît là où je filmais (avant de me tourner).
    A ce petit jeu-là, je n'avais souvent pas grand-chose.
    Alors, m'étant rendu compte que ça ne servait à rien cette méthode, je regarde là où peut surgir (vraisemblablement) un éclair et j'attends..., et dès que je l'ai filmé, je regarde dans une autre direction où il est susceptible qu'il y en ait un autre, et ainsi de suite.
    De cette façon, et j'ai pu m'en apercevoir ces derniers temps, j'ai plus de résultats (hormis les éventuels mauvais réglages (ou manips).
    Je sais que ce que je décris n'est pas si évident que cela, mais il faut bien avoir une façon de faire sinon on n'arrive à rien.
    L'autre samedi, j'avais la chance d'avoir presque tous les éclairs face à moi avant que la pluie ne tombe. C'est souvent le cas lorsqu'il s'agit d'une monocellule (un cumulonimbus isolé en plein développement).

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